Contrairement à ce qui a été dit (réunions du 28 juin 2011 et du 1er septembre 2011) hérisser la capitale de tours au contact avec la banlieue (voir les 6 projets), ce n’est pas accroître la porosité, c’est mettre des barrières. Si l’on veut faire le lien avec la banlieue, il faut atténuer l’obstacle du périphérique, et non pas faire un changement qui accentue l’impression de coupure, qui impose à la banlieue un paysage qu’elle n’a pas décidé.
Concevoir l’intercommunalité, c’est imaginer une distribution progressive, circulaire des zones résidentielles et des zones d’activité, c’est définir une politique à l’échelle du Grand Paris, de la cuvette de Paris, à partir de photos aériennes, à partir de Sèvres, de Meudon, au travers de paysages.
Il faut effacer l’idée même de coupure entre le Paris administratif et sa banlieue.